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CanBIM Montréal 2018 Recap

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February 19, 2020
May 2, 2018

BIM One had the pleasure of both exhibiting and presenting at CanBIM Montreal Regional Session on April 11-12. Vincent Carignan, BIM Specialist at BIM One, wanted to share a few of the key take-homes from the day:

A forward-thinking organisation

The planning committee definitely pulled some of the most interesting topics we have seen for some time. On the day, the quality of the presentations lived up to the expectations, with an impressive depth and quality.

We’ve moved past “Why BIM”

Until recently, many presentation topics at BIM events in Quebec and Canada still focused on the benefits of adopting BIM. The good news? We’re sold on BIM. We’re moving into intelligent and deeper discussions and are debating what could be the next steps moving forward. Daniel Hurtubise’s session from RPBW Architects, as well as that presented by ARUP’s David de Koning, were both particularly fascinating in that regard.

Best practices converge

Interestingly, two separate initiatives from two completely different building owners shared many similar characteristics in their efforts to streamline their digital construction processes. Both Cannon Design’s and Ville de Québec’s presentations examined large owners (Ohio State University and Ville de Québec, respectively) who saw the benefits of reducing recurring cost that otherwise penalize the end users (students or citizens). These presentations by Brian Skripac, Louis Tremblay, Franck Murat [BIM One] & Louis-Martin Guenette, didn’t just talk about using BIM on specific projects, but about owners applying processes and methodologies across their assets. As they dove into the mechanics of BIM deployment in each context, both presentations discussed:

How focusing on BIM as a means rather than an end contributes to reducing non-value added activities;How continuous improvement strategies and methodologies ensure new learnings are implemented on the next project;How an implementation based on documented, existing processes and methods enhances owners’ commitment;How to address the need for a single source of truth in a context where multiple stakeholders generate, use and modify the same information in multiple formats, in multiple locations, and for different goals;Solving inefficiencies in data exchange and communications;Better coordination communications during preconstruction and construction phases;Handover for usefulness throughout project life cycles.

It’s fascinating to consider that two owners from two completely different markets adopted the same structured and rigorous approach to BIM implementation: proof that Quebec is actively contributing to global best practices.

Quebec is emerging as a Canadian BIM powerhouse

With key driving owners like Ville de Quebec and Hydro-Quebec, it seems clear that our market is not playing global catch-up. As presentations from Aedifica and Pomerleau suggested, many local projects have already moved on from “doing BIM” as a simple project objective to enhancing the entire construction and facilities process using digital capabilities.

Familiar faces

As always, it was a pleasure catching up with clients and making new connections. We were also happy to be sharing a booth with ÉTS Formation; expect to hear more soon about this upcoming partnership.

Vincent Carignan, BIM Specialist at BIM One and Geneviève Brouillette, agente de développement à la formation at ÉTS Formation.

Vincent Carignan, BIM Specialist at BIM One and Geneviève Brouillette, agente de développement à la formation at ÉTS Formation

Retour sur CanBIM Montréal 2018

Cette semaine, BIM One a eu le plaisir d'exposer et de présenter à CanBIM Montréal. Voici un léger résumé des faits saillants de la journée :

Une organisation bien huilée

Tout d’abord, chapeau bas au comité de planification pour avoir présenté une série de thèmes des plus intéressants les uns que les autres. Le jour venu, les conférenciers et conférencières ont su livrer la marchandise en proposant des présentations d’une grande profondeur et qualité.

La vulgarisation ne nous suffit plus

Alors qu’encore récemment, de nombreux sujets de présentation aux événements BIM au Québec et au Canada mettaient l'accent sur les avantages de l'adoption du BIM, il semble clair que nous avons passé l’étape de la simple sensibilisation. La tendance vers des discussions argumentées, approfondies et étayées par des études de cas sur une mise en œuvre opérationnelle se consolide. Par exemple. des discussions et réflexions très intéressantes proposant une transversalité entre le BIM et les pratiques d’affaires ont été proposées lors des sessions de Daniel Hurtubise de RPBW Architectset de David de Koning d'ARUP.

Les meilleures pratiques convergent

Fait intéressant: deux initiatives distinctes d’implantation BIM de deux propriétaires complètement différents partageaient de nombreuses caractéristiques dans leurs efforts pour rationaliser leurs processus de conception, de construction et d’exploitation. Les présentations de Cannon Design (Ohio State Uniersity) et de la Ville de Québecprésentaient leurs approches visant à ultimement réduire les coûts récurrents n’offrant pas de valeur ajoutée aux utilisateurs finaux (étudiants ou citoyens).

Ces présentations de Brian Skripac, de Louis Tremblay, de Franck Murat [BIM One] et de Louis-Martin Guenette ne se sont pas contentées de présenter l’utilisation du BIM sur des projets spécifiques, mais ont présenté leur approche de gestion de leurs portfolios d’actifs appliquant des processus et des méthodologies globaux. En se plongeant dans la mécanique du déploiement du BIM dans chaque contexte, les deux présentations ont présenté :

Comment l’utilisation du BIM au service des projets peut appuyer la réduction des activités sans valeur ajoutée;Comment les stratégies et les méthodologies d'amélioration continue permettent de mettre en œuvre de nouveaux apprentissages dans les nouveaux projets;Comment une implantation basée sur les processus et des méthodes existants dans l’organisation renforce l'engagement des employés concernés;Comment répondre au besoin de la création d’une seule “source de vérité” dans un contexte où plusieurs parties génèrent, utilisent et modifient la même information dans plusieurs formats, dans plusieurs endroits et pour objectifs différents;Comment réduire les inefficacités dans l'échange de données et les communications;Comment faciliter la coordination des communications pendant les phases de conception et de construction;Comment transférer l’information à travers le cycle de vie du projet.

Il est fascinant de considérer que deux propriétaires dans deux marchés complètement différents ont adopté la même approche structurée et rigoureuse de la mise en œuvre du BIM: une preuve que le marché québécois n’est pas insensible aux meilleures pratiques mondiales.

Le Québec devient une locomotive BIM canadienne

Avec les propriétaires qui poussent fortement la transformation numérique comme Ville de Québec et Hydro-Québec, il semble clair que le marché québécois se positionne comme une locomotive BIM canadienne. Comme l'ont suggéré Aedifica et Pomerleaudans leurs présentations, de nombreux projets locaux sont déjà passés de «faire du BIM» à améliorer l'ensemble des processus de construction et d'installations en utilisant les capacités numériques.

Visages familiers

Ce fut un plaisir de revoir les clients et de faire de nouvelles connexions. Nous étions également heureux de partager un stand avec l'ÉTS Formation; attendez-vous à notre annonce par rapport à ce partenariat à venir.

Vincent Carignan, Spécialiste BIM chez BIM One et Geneviève Brouillette, Officier au développement chez ÉTS Formation.

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